Nestor est à la bourre au ciné… #6

Cette semaine au Méliès!

Du 18 au 24 mai 2016

Un aperçu des sorties et des entrées pour commencer: Vendeur ; Mr Holmes ; Red Amnesia ; Dieu, ma mère et moi ; Batman (1968) et Voyages de rêve arrivent pour un temps certain. Nous ne verrons plus Mimi et Lisa ; Les Habitants ; Montanha ; Dégradé ; Dalton Trumbo et Chala. Restent encore un peu Julieta ; Ma loute ; Cafe Society ; Merci Patron! ; Théo et Hugo et Hana et Alice. Et enfin pour leur dernière semaine : Un homme charmant ; Baden Baden ; Fui Banquero et Captain America.

En ce qui concerne les événements, il y a de quoi faire : Fui Banquero le 18 suivi d’une rencontre avec le réalisateur ; le 19 les écrans philo présentent Le Doulos à 20h30 et à 20h45 Je lutte donc je suis, d’actualité, avec le réalisateur Yannis Yolountas et en partenariat avec ATTAC ; le 20 Un vrai faussaire pour nous expliquer comment tous avoir des Rembrandt chez soi à prix modique, à 14h avec le CCAS ; une séance pour tous tous des Temps modernes à 16h15 le 21, dans le cadre de Cine ma différence ; et non c’est pas fini. Toujours le 21 pour compléter la journée Une vie normale à 19h avec le réalisateur et enfin le 22 à 16h Cinema 93 accueille Soufiane Adel et lui donne carte blanche. Et les Kurosawa de la semaine (on a droit à deux) sont Ran et Les bas-fonds.

Voilà pour la revue du programme.

Si vous hésitez, ma foi Woody Allen déçoit rarement, même s’il ravit et/ou surprend moins souvent. Baden Baden vaut le détour et ça rafraîchit le cerveau. Pedro Almodovar semble retrouver l’esprit de ses premiers films, même si la critique espagnole a été un peu sévère.

Je suis pas vraiment (du tout) informée côté Marvel mais Captain America se défend pas mal, sauf que je suis d’accord avec Iron Man à propos de ses dents. Je savais vraiment pas que y en avait autant des gens super forts, et je me suis demandée comment ça se faisait qu’ils ne croisaient jamais des X-men sur leur route? Bref… Je ne vais pas louper Sherlock à la retraite ni les deux Kurosawa et Batman 1966 sur grand écran ça vaut quand même le visionnage, rien que pour la bombe.

A la semaine prochaine pour – j’espère – plus d’avis objectifs et précieux qui pourront vous guider dans cette folie tourbillonnante du 7e art de Montreuil. Ou pas.