Des visages, toujours des visages, s’installent sur les murs à Montreuil et dans le XIIIème, comme si nous n’étions pas assez nombreux sur cette terre et qu’il fallait rajouter encore d’autre personnes !
Mais ces personnages, à la différence des passants, regardent.
Nous regardent !
Une rencontre entre le marcheur et l’univers de Barny dans un lieu choisi avec soin.
Ici, nous sommes au dessus du supermarché du sport, le Décathlon, porte de Montreuil, endroit où se mêlent différentes populations : enfants, salariés, artistes…
Comme la mixité de ses portraits.
La jeune réfugiée par son regard dense surprend et nous retire de notre quotidien pour nous questionner.
Dans la société où la seule chose qui nous regarde est notre portable… être, regarder interrogent. Une certaine peur, une partie de soi qui nous échappe et que l’autre perçoit. La photographie révèle une part de l’autre comme les portraits de Barny questionnent.
Barny a choisi pour son portrait de rester dans l’ombre, cette contrainte n’empêchera pas le lecteur de Nestor de se faire une idée sur sa personnalité et de se regarder à son tour ….
Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny

Camille Cier - Barny

Camille Cier – Barny