Sophie écrit, Sophie peint, encres, pigments, acryliques. Peut-être l’avez vous déjà rencontrée lors des ateliers d’artistes l’année dernière ? Désormais, Sophie Brassart délaisse la peinture pour les mots qui, selon elle, permettent une exploration plus profonde, de travailler sur des strates plus variées que la peinture : devant, derrière, avant, après, pendant, autour…. 

Son deuxième recueil de poèmes vient fraîchement sorti aux Éditions du Chant du Cygne. 


De très beaux textes, morcelés, qui prennent leur source chez le philosophe grec Héraclite d’Éphèse avec son approche de la vie en éclats mais aussi également les attentats de Charlie Hebdo du 7 janvier 2015. Pour Sophie, dans ces textes, le corps social et le langage ne peuvent être que fragmentaires et le reflet d’une certaine violence qui envahit le monde.  C’est aussi un recueil qui raconte une errance et une rencontre amoureuse, décisive.

Je vais à la mesure du ciel, Sophie Brassat

Sophie cherche aussi la transversalité entre la voix du poème et la peinture, elle travaille sur des toiles sonores et sur un projet d’oralisation du recueil avec la danseuse Natalia Fontana (Compagnie Le Temps d’une danse).

Pour en savoir plus, 
Retrouvez son premier opus, Combe, paru en 2018 aux éd Tarmac qui parle de la douleur des élans brisés. 

Combe Sophie Brassart


Son blog : toile poétique http://graindeble.blogspot.com/

Son site : toile sonore https://sophiebrassart.wixsite.com/toilesonore